Vellai Pookkal
Publié lundi 19 septembre 2005
Dernière modification lundi 19 septembre 2005
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Vellai pookkal oolagam engum malaravae,
Pendant que les fleurs blanches fleurissent partout dans ce monde
Kiliyum bhoomi amaithikkaaga piliravae,
Ce monde déchiré par la guerre est en quête de paix
Mannmael manjal velicham vilugavae,
Pendant que la lumière jaune tombe sur le sable
Malarae sombal murithu elugavae,
Pendant que les fleurs se réveillent en étirant leurs feuilles
Kulanthai vilikkattumae,
Laissez les nouveaux-nés se réveiller
Thaayin kathakathappil,
Dans la chaleur de la Terre-mère
Oolagam vidiyattumae,
Laissez l’aube de ce monde venir
Pillaiyin siru mudhal sirippil
Dans le premier de l’enfant
Kaattru paesayum,
Les mots dits par le vent
Malai paadum paadalgalum,
et ceux chantés par la pluie
Oru mounam, oar inbam tharumoe ?
Nous réservent-ils un silence ? ou une joie ?
Kodi keerthanaiyum,
1000 avantages
Kavi kaattra vaartthaigalum,
et les mots d’un poète
Thuli kanneer, oar muttham tharumoe ?
nous donneront-ils un flot de larmes ? ou un baiser ?
Ah-ha-ha-ha, ah-ha-ha
Engu sel, kulanthai ?
Où vas tu, Enfant ?
Than kaigal naenthidumoe ?
Pk étires tu tes bras ?
Angu thondraayoe kollai nilavae ?
Veux tu atteindre cette lune éloignée ?
Engu manitha inam ?
Où est l’espèce humaine ?
Oar oynthu saaythidumoe ?
Est ce qu’elle fatiguera et se reposera ?
Angu koovaathoe vellai kuyilae ?
Au dessus d’eux la colombe (de la paix) ne roucoulera t elle pas ?