Evano Oruvan
Publié lundi 19 septembre 2005
Dernière modification mardi 20 septembre 2005
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Par
◀ | Snehidhanae |
▶ | Patchai niramae |
Evano oruvan vaasikkuraan
Iruttil irunthu naan yaasikkiraen
Evano oruvan vaasikkuraan
Iruttil irunthu naan yaasikkiraen
Dhavampole irunthu yosikkiraen
Athai dhavanai muraiyil naesikkiraen
Kaettu kaettu naan kirangukiraen
Kaetpathu avanoe ariyavillai
Kaattu mungilin kaathukullai
Avan oothum ragasiyam puriyavillai
Evano oruvan vaasikkuraan
Iruttil irunthu naan yaasikkiraen
Quelque part quelqu’un joue une chanson.
Depuis l’obscurité je l’écoute.
Quelque part quelqu’un joue une chanson.
Depuis l’obscurité je l’écoute.
Comme en transe j’y pense et repense.
J’apprécie le pourquoi de ma punition.
J’écoute la chanson et je pleure.
Mais il ne sait pas ce que je demande.
Depuis les arbres forestiers.
Je ne comprends ce secret qu’il me chuchote.
Quelque part quelqu’un joue une chanson.
Depuis l’obscurité je l’écoute.
Pullaangulalae ! Poongulalae !
Neeyum naanum orae jaathee
Pullaangulalae ! Poongulalae !
Neeyum naanum orae jaathee
Ullae oorangum aekkathilae
Oonakkum yenakkum sari paathi
Kangalai varudum thaenisaiyil
Yen kaalam kavalai maranthiduppaen
Innisai mattum illaiyendraal naan
Endroe endroe iranthiruppaen !
Evano oruvan vaasikkuraan
Iruttil irunthu naan yaasikkiraen
Ô Flûte ! Ô Clarinette !
Vous et moi sommes de la même race.
Ô Flûte ! Ô Clarinette !
Vous et moi sommes de la même race.
Ce secret qui sommeille au plus profond de moi.
Nous appartient moitié-moitié chacun.
Dans cette musique qui mouille mes yeux.
J’oublie les soucis de toute ma vie.
Si cette musique n’existait pas.
Je serais morte il y a bien longtemps.
Quelque part quelqu’un joue une chanson.
Depuis l’obscurité je l’écoute.
Oorakkam illaa munniravil
Yen ullmanathil oru maaruthalaa
Oorakkam illaa munniravil
Yen ullmanathil oru maaruthalaa
Irakkam illaa iravugalil
Ithu evano anuppum aaruthalaa
Yenthan soagam theervatharthae
Ithupole marunthu pirithillaiyae
Antha kulalai pole aluvatharkku
Athanai kangal yenakkillaiyae
Evano oruvan vaasikkuraan
Iruttil irunthu naan yaasikkiraen
Evano oruvan vaasikkuraan
Iruttil irunthu naan yaasikkiraen
Au crépuscule si le sommeil ne vient pas.
Y aura-t-il un changement dans mon coeur ?
Au crépuscule si le sommeil ne vient pas.
Y aura-t-il un changement dans mon coeur ?
Les nuits où il n’y a aucune pitié.
Est-ce du réconfort qu’il m’envoie ?
Pour surmonter ma tristesse.
N’y a-t-il pas de médicament comme ceci ?
Pour pleurer comme cet instrument.
Je n’ai pas autant d’yeux.
Quelque part quelqu’un joue une chanson.
Depuis l’obscurité je l’écoute.
Quelque part quelqu’un joue une chanson.
Depuis l’obscurité je l’écoute.